FAUX: C'est plutôt une preuve que la personne violente manque de confiance en elle et en l'autre partenaire. Lorsqu'elle s'aggrave, la jalousie manifeste une volonté de posséder l'autre. La personne ayant recours à la violence considère que l'autre lui appartient.
FAUX: C'est au contraire le signe que la relation est saine: les partenaires se font confiance, chaque partenaire respecte la liberté de l'autre. Rappelons, au besoin, que toutes les personnes jouissent des mêmes droits.
FAUX: C'est déjà de la violence et c'est inacceptable. La répétition des agressions psychologiques détruit l'estime de soi. Jamais anodine, la violence psychologique atteint profondément la santé des personnes qui en sont victimes.
FAUX: Personne n'aime subir de la violence. Plusieurs raisons peuvent expliquer que certaines victimes restent ou reviennent auprès de leur partenaire. Par exemple, certaines se sentent coupables de la violence qu'elles subissent ou ont peur de ce qui les attend en cas de départ (représailles, manque d'argent, difficulté à trouver un emploi, un logement, etc.). D'autres aiment toujours leur partenaire, veulent croire à ses promesses de changement, ou encore ne veulent pas séparer les enfants de l'autre parent.
FAUX: La violence conjugale n'est pas une perte de contrôle, mais une prise de contrôle. On a toujours le choix d'exprimer autrement sa rage et ses frustrations. Même si elles sont très en colère, les personnes auteures de violence conjugale ne se permettent pas, par exemple, d'agresser leur responsable hiérarchique ou une agente de police. La violence est un moyen délibérément choisi pour faire plier leur partenaire.
FAUX: Si la personne auteure de violence ne supporte pas certains comportements de l'autre partenaire, elle n'a pas pour autant le droit de l'agresser. Cela vaut aussi dans les cas où elle se sent provoquée. Rien ne justifie la violence. La personne qui recourt à la violence est totalement responsable de sa manière de réagir aux attitudes de la personne qui partage sa relation.
FAUX: L'alcool ou l'abus d'autres substances (drogues, médicaments…) ne rend pas violente une personne. Il peut seulement l'amener à manifester plus rapidement ou plus intensément une violence déjà présente en elle. La plupart des personnes alcooliques ne se montrent pas violentes et de nombreuses personnes qui recourent à la violence dans leur couple n'ont pas de problème d'alcool.
FAUX: La violence n'est pas une maladie, c'est généralement un comportement choisi qui vise à contrôler et soumettre l'autre. La personne violente y recourt pour imposer ses vues, résoudre les conflits à son avantage. Si les médias associent volontiers la violence à des problèmes de santé mentale, ces situations ne représentent, en réalité, qu'une faible minorité des cas.
FAUX: On ne peut pas changer l'autre. On peut soutenir la personne violente dans son cheminement hors de la violence, mais elle seule a le pouvoir et la responsabilité de modifier son comportement.
FAUX: En Suisse, la loi s'applique à tous et toutes de la même manière, même dans l'intimité du foyer. Toute personne utilisant la violence, que ce soit en public ou sous son propre toit, commet un délit et s'expose à des poursuites judiciaires.
FAUX: En Suisse, une femme sur cinq est maltraitée physiquement ou sexuellement par un-e-x partenaire au cours de sa vie. Deux femmes sur cinq le sont psychologiquement.
FAUX: Ce n'est pas évident de savoir en les voyant qu'une personne vit de la violence dans son couple et qu'une autre a un comportement violent. Il n'y a pas de caractéristiques particulières. Ce peut être n'importe qui. La violence existe dans des couples suisses comme étrangers, de tous les milieux sociaux et de tous les âges. Une personne qui violente l'autre partenaire peut aussi être une personne charmante de notre cercle amical ou un-e-x collègue agréable en dehors du foyer.
VRAI: Mais la violence des hommes envers les femmes ou les minorités de genre est beaucoup plus répandue et habituellement plus grave. À noter que les violences psychologiques ou physiques commises par les femmes ou les minorités de genre sont souvent des réponses aux attaques que ces personnes subissent.
FAUX: C'est plutôt une preuve que la personne violente manque de confiance en elle et en l'autre partenaire. Lorsqu'elle s'aggrave, la jalousie manifeste une volonté de posséder l'autre. La personne ayant recours à la violence considère que l'autre lui appartient.
FAUX: Personne n'aime subir de la violence. Plusieurs raisons peuvent expliquer que certaines victimes restent ou reviennent auprès de leur partenaire. Par exemple, certaines se sentent coupables de la violence qu'elles subissent ou ont peur de ce qui les attend en cas de départ (représailles, manque d'argent, difficulté à trouver un emploi, un logement, etc.). D'autres aiment toujours leur partenaire, veulent croire à ses promesses de changement, ou encore ne veulent pas séparer les enfants de l'autre parent.
FAUX: C'est déjà de la violence et c'est inacceptable. La répétition des agressions psychologiques détruit l'estime de soi. Jamais anodine, la violence psychologique atteint profondément la santé des personnes qui en sont victimes.
FAUX: C'est au contraire le signe que la relation est saine: les partenaires se font confiance, chaque partenaire respecte la liberté de l'autre. Rappelons, au besoin, que toutes les personnes jouissent des mêmes droits.
FAUX: La violence conjugale n'est pas une perte de contrôle, mais une prise de contrôle. On a toujours le choix d'exprimer autrement sa rage et ses frustrations. Même si elles sont très en colère, les personnes auteures de violence conjugale ne se permettent pas, par exemple, d'agresser leur responsable hiérarchique ou une agente de police. La violence est un moyen délibérément choisi pour faire plier leur partenaire.
FAUX: Si la personne auteure de violence ne supporte pas certains comportements de l'autre partenaire, elle n'a pas pour autant le droit de l'agresser. Cela vaut aussi dans les cas où elle se sent provoquée. Rien ne justifie la violence. La personne qui recourt à la violence est totalement responsable de sa manière de réagir aux attitudes de la personne qui partage sa relation.
FAUX: L'alcool ou l'abus d'autres substances (drogues, médicaments…) ne rend pas violente une personne. Il peut seulement amener une personne à manifester plus rapidement ou plus intensément une violence déjà présente en elle. La plupart des personnes alcooliques ne se montrent pas violentes et de nombreuses personnes qui recourent à la violence dans leur couple n'ont pas de problème d'alcool.
FAUX: La violence n'est pas une maladie, c'est généralement un comportement choisi qui vise à contrôler et soumettre l'autre. La personne auteure de violence y recourt pour imposer ses vues, résoudre les conflits à son avantage. Si les médias associent volontiers la violence à des problèmes de santé mentale, ces situations ne représentent, en réalité, qu'une faible minorité des cas.
FAUX: On ne peut pas changer l'autre. On peut soutenir la personne violente dans son cheminement hors de la violence, mais elle seule a le pouvoir et la responsabilité de modifier son comportement.
FAUX: En Suisse, la loi s'applique à toutes les personnes de la même manière, même dans l'intimité du foyer. Toute personne utilisant la violence, que ce soit en public ou sous son propre toit, commet un délit et s'expose à des poursuites judiciaires.
FAUX: En Suisse, une femme sur cinq est maltraitée physiquement ou sexuellement par un-e-x partenaire au cours de sa vie. Deux femmes sur cinq le sont psychologiquement.
FAUX: Ce n'est pas évident de savoir en les voyant qu'une personne vit de la violence dans son couple et qu'une autre a un comportement violent. Il n'y a pas de caractéristiques particulières. Ce peut être n'importe qui. La violence existe dans des couples suisses comme étrangers, de tous les milieux sociaux et de tous les âges. Une personne violente dans on couple peut aussi être une personne charmante de notre cercle amical ou un-e-x collègue agréable en dehors du foyer.
VRAI: Mais la violence des hommes envers les femmes ou les minorités de genre est beaucoup plus répandue et habituellement plus grave. A noter que les violences psychologiques ou physiques commises par les femmes ou des minorités de genre sont souvent des réponses aux attaques que ces personnes subissent.
FAUX: C'est plutôt une preuve que la personne violente manque de confiance en soi et en l'autre partenaire. Lorsqu'elle s'aggrave, la jalousie manifeste une volonté de posséder l'autre. La personne ayant recours à la violence considère que l'autre lui appartient.
FAUX: C'est au contraire le signe que la relation est saine: les partenaires se font confiance, respectent la liberté de l'autre. Rappelons, au besoin, que toutes les personnes jouissent des mêmes droits.
FAUX: C'est déjà de la violence et c'est inacceptable. La répétition des agressions psychologiques détruit l'estime de soi. Jamais anodine, la violence psychologique atteint profondément la santé des personnes qui en sont victimes.
FAUX: Personne n'aime subir de la violence. Plusieurs raisons peuvent expliquer que des victimes restent ou reviennent auprès de leur partenaire. Par exemple, certaines se sentent coupables de la violence qu'elles subissent ou ont peur de ce qui les attend en cas de départ (représailles, manque d'argent, difficulté à trouver un emploi, un logement, etc.). D'autres aiment toujours leur partenaire, veulent croire à ses promesses de changement, ou encore ne veulent pas séparer les enfants de l'autre parent.
FAUX: La violence au sein du couple n'est pas une perte de contrôle, mais une prise de contrôle. On a toujours le choix d'exprimer autrement sa rage et ses frustrations. Même si elles sont très en colère, les personnes auteures de violence ne se permettent pas, par exemple, d'agresser leur responsable hiérarchique ou une agente de police. La violence est un moyen délibérément choisi pour faire plier leur partenaire.
FAUX: Si une des personnes du couple ne supporte pas certains comportements de l'autre partenaire, elle n'a pas pour autant le droit de l'agresser. Cela vaut aussi dans les cas où elle se sent provoquée. Rien ne justifie la violence. La personne qui recourt à la violence est totalement responsable de sa manière de réagir aux attitudes de l'autre partenaire.
FAUX: L'alcool ou l'abus d'autres substances (drogues, médicaments…) ne cause pas la violence. Il peut seulement amener une personne à manifester plus rapidement ou plus intensément une violence déjà présente en elle. La plupart des personnes alcooliques ne se montrent pas violentes et de nombreuses personnes qui recourent à la violence dans leur couple n'ont pas de problème d'alcool.
FAUX: La violence n'est pas une maladie, c'est généralement un comportement choisi qui vise à contrôler et soumettre l'autre. La personne y recourt pour imposer ses vues, résoudre les conflits à son avantage. Si les médias associent volontiers la violence à des problèmes de santé mentale, ces situations ne représentent, en réalité, qu'une faible minorité des cas.
FAUX: On ne peut pas changer l'autre. On peut soutenir la personne violente dans son cheminement hors de la violence, mais elle seule a le pouvoir et la responsabilité de modifier son comportement.
FAUX: En Suisse, la loi s'applique à tout le monde de la même manière, même dans l'intimité du foyer. Toute personne utilisant la violence, que ce soit en public ou sous son propre toit, commet un délit et s'expose à des poursuites judiciaires.
FAUX: En Suisse, une femme sur cinq est maltraitée physiquement ou sexuellement par un-e-x partenaire au cours de sa vie. Deux femmes sur cinq le sont psychologiquement.
FAUX: Ce n'est pas évident de savoir en les voyant qu'une personne vit de la violence dans son couple et qu'une autre a un comportement violent. Il n'y a pas de caractéristiques particulières. Ce peut être n'importe qui. La violence existe dans des couples suisses comme étrangers, de tous les milieux sociaux et de tous les âges. Une personne qui violente l'autre partenaire peut aussi être un ami-e-x formidable ou un-e-x collègue agréable en dehors du foyer.
VRAI: Mais la violence des hommes envers les femmes est beaucoup plus répandue et habituellement plus grave. A noter que les violences psychologiques ou physiques commises par les femmes sont souvent des réponses aux attaques qu'elles subissent.
FAUX: C'est plutôt une preuve que l'autre manque de confiance en toi et aussi en soi-même. Si la jalousie devient excessive, c'est que l'autre cherche à te posséder. Il/elle/iel considère que tu lui appartiens.
VRAI: Mais la violence faite aux filles dans les relations amoureuses est bien plus répandue et habituellement plus grave.
FAUX: C'est plutôt que l'alcool peut amener une personne à manifester plus rapidement ou plus intensément sa violence.
FAUX: Personne n'aime être maltraité. Plusieurs raisons expliquent pourquoi certaines victimes restent ou retournent avec leur partenaire. Par exemple, certaines se sentent coupables des violences qu'elles ont subies ou ont peur de ce qui leur arrivera si elles partent - elles craignent les représailles, le manque d'argent et/ou la difficulté à trouver un emploi ou un logement. D'autres aiment encore leur partenaire et veulent croire en ses promesses de changement, ou ne veulent pas séparer les enfants de l'autre parent.
FAUX: Les agresseurs sexuels connaissent le plus souvent leur victime. Ça peut être la personne avec qui tu sors, une personne du voisinage ou de ton cercle amical par exemple.
FAUX: Peu importe son genre, chaque personne peut contrôler ses envies et ses pulsions sexuelles.
FAUX: La violence dans une relation amoureuse ce n'est pas perdre le contrôle, c'est prendre le contrôle. On a toujours le choix d'exprimer autrement sa rage et ses frustrations. Même si on est très en colère, on ne se permet pas, par exemple, d'agresser sa patronne, son prof ou une personne du voisinage.
FAUX: Cela ne l'engage à rien. Si elle n'est pas sûre des intentions de son ami-e-x, elle peut lui en parler et lui dire clairement ses envies, poser ses limites.
FAUX: On ne peut pas changer l'autre. On peut soutenir cette personne dans une démarche, mais elle seule a le pouvoir de modifier son comportement.
FAUX: C'est dans certains jeux vidéo, dans certains films que ça se passe comme ça. Le cinéma, ça n'est pas la vraie vie. Non, c'est non ! N'interprète pas, tiens-toi à ce qu'on te dit. Si la personne ne dit rien, demande lui clairement ce qu'elle souhaite.
FAUX: On ne fait pas l'amour juste pour faire plaisir à l'autre. Il faut en avoir envie tous les deux. Si l'autre refuse, ça ne veut pas dire que cette personne ne t'aime pas. Cela veut seulement dire qu'elle ne se sent pas encore prête ou qu'elle n'en a pas envie.
FAUX: Chaque personne a droit à ses goûts et à ses opinions. Si la personne qui partage ton couple ne supporte pas certains de tes comportements, elle n'a pas pour autant le droit de l'agresser. Rien ne justifie la violence. La personne qui a un comportement violent est seule responsable de ses actes.