Kod većine parova dogadjaju se povremeno prepirke, svadje. Supružnici, partneri, mogu i da se posvadjaju, a da to ne izazove obavezno negativne posledice. Kućno nasilje (“bračno nasilje”) je nešto drugo. Ono ima razarajuće posledice na sve članove porodice. Kada se primenjuje nasilje, poštovanje prema onom drugom i ravnopravnost izmedju partnera nestaju.
Kućno nasilje je nasilje koje se dogadja u zajednici, bilo da se radi o bračnij ili vanbračnoj. Takvo nasilje može da se pojavi na samom početku veze i stvaranja zajednice, posle više godina zajedničkog života ili u trenutku kada dodje do rastavljanja.
Chaque situation de couple est unique, mais la plupart du temps, la violence se déroule sous la forme d’un cycle de quatre phases, véritable cercle vicieux destructeur, facilement repérable une fois qu’il est connu. Il est difficile de rompre ce cycle infernal sans soutien extérieur. Briser le silence et l’isolement, parler de sa situation est une étape importante pour y arriver.
Un-e-x des partenaires a peut-être de la peine à exprimer ses sentiments, ses désaccords. Les frustrations et mécontentements s’accumulent. Ou alors une des personnes veut tout contrôler au sein de la famille et refuse la négociation. Chaque manquement à sa volonté est source d’insatisfaction. Dans les deux cas, la tension monte. L’autre partenaire peut sans doute déjà repérer des signes de violence, mais espère que ce n’est que passager et que la situation se calmera rapidement.
Posez votre questionLa personne violente finit par exploser, pour se décharger ou pour régler les conflits à son avantage. Alors que la violence était mesurée pendant la première phase, elle est alors capable de tout: hurlements, insultes, menaces, intimidations, gifles, coups, etc. La victime se sent piégée, terrifiée, impuissante. Bien souvent, la seule solution pour que cela s’arrête est de se conformer aux exigences de la personne violente.
Posez votre questionLa personne violente minimise ensuite ses actes et leurs conséquences et invoque des causes externes (stress, fatigue, chômage, etc.) pour justifier son débordement. Elle justifie son comportement en disant avoir été provoquée. La victime en vient à douter d'elle-même, à se culpabiliser. Elle finit par penser que c'est à elle de changer pour que la violence cesse.
Posez votre questionLe moment de crise passé, la personne auteure de violence s'excuse, jure de ne plus recommencer. Elle a peur de perdre l'autre partenaire et fait tout pour se faire pardonner. La victime reprend espoir. Elle veut croire à ces promesses de changement et oublier la souffrance. Les excuses accompagnées de marques de gentillesse sont acceptées. C'est comme une nouvelle lune de miel qui encourage le couple à poursuivre la relation.
Posez votre questionLa spirale de la violence recommence, avec des phases de plus en plus rapprochées et des agressions de plus en plus graves. Si rien n’est entrepris, la violence peut aboutir à des blessures dangereuses pour la vie, des lésions irréversibles. Le risque d'homicide n'est pas négligeable.
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