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Bonjour Madame,
Une proche de votre famille subit des violences physiques et psychologiques de la part de son mari depuis plus de 40 ans. En tant que témoin de cette situation, vous vous demandez comment lui venir en aide. Nous comprenons et partageons votre inquiétude vis-à-vis de cette situation. Votre amie n’est pas seule, il existe des solutions pour lui venir en aide.
La violence conjugale débute souvent par une insulte et peut, au fil des années, évoluer vers des actes juridiquement plus graves tels que des coups et des blessures corporelles. Il existe un nom pour expliquer ce processus : le cycle de la violence conjugale. Nous vous invitons vous et votre amie à lire ce qu’explique notre site afin de savoir si votre amie se reconnait dans l’explication ou non. Ensuite, nous vous rendons attentives au fait que la violence est punie par la loi. Votre amie a le droit de demander de l’aide afin de protéger son intégrité physique et psychique.
Pour venir en aide et offrir du soutien aux victimes de violence, il existe le centre LAVI du canton du Valais. Des professionnel-le-s du centre pourront proposer à votre amie une écoute, des informations sur ces droits ainsi qu’une aide plus spécialisée comme des consultations chez un-e psychothérapeute ou un-e avocat-e. Le centre LAVI offre également un hébergement d’urgence dans le but de protéger les victimes de leur agresseur. Les consultations dans le centre LAVI sont confidentielles et gratuites. Rencontrer les professionnel-le-s de ce centre ne l'engage à rien et cela lui permettrait de faire le point sur sa situation afin de prendre la décision qui sera la meilleure pour elle-même.
Pour le canton du Valais, nous vous conseillons d'inviter votre amie à prendre contact avec le Centre LAVI au 027 607 31 00. Les professionnel-le-s du centre LAVI sont là pour soutenir votre amie, en aucun cas, elle ne sera jugée ou encore mise en doute. Et en cas d’urgence, nous vous conseillons de suggérer à votre amie de faire appel immédiatement à la police au 117. En cas de crise, la police peut, dans le cadre de son intervention, expulser immédiatement le/la partenaire violent-e du logement commun.
Nous espérons avoir pu vous amener quelques éléments de réponses à vous et votre amie. N’hésitez pas à nous écrire à nouveau si vous avez d’autres questions, ainsi que si vous souhaitez nous tenir au courant de la situation. Nos meilleures pensées vous accompagnent vous et votre amie.
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01 novembre 2021 - Val...
Bonjour Madame,
Vous avez appris que votre meilleure amie a subi une agression sexuelle. En tant qu’amie proche, vous êtes témoin de la détresse de votre amie et vous vous demandez comment l’aider.
À la suite d’une telle agression, les victimes de violence sexuelle ressentent souvent un sentiment de honte et/ou de culpabilité qui bloque la parole. Le soutien de proche comme vous est donc important pour permettre à votre meilleure amie de sortir du silence et d’oser demander de l’aide.
Pour venir en aide et offrir du soutien aux victimes d’agressions sexuelles, il existe le centre LAVIdu Valais. Les professionnel-le-s du centre pourront proposer à votre meilleure amie une écoute, des informations sur ses droits ainsi qu’une aide plus spécialisée comme des consultations chez un-e psychothérapeute ou un-e avocat-e. Les consultations du centre LAVI sont confidentielles et gratuites. Il n’est pas nécessaire que l’auteur de violence soit découvert ou que votre meilleure amie dépose plainte. Lorsque votre meilleure amie se sentira prête à parler, nous vous invitons à lui transmettre le numéro du centre LAVI : 027 607 31 00.
Nous vous conseillons d'indiquer à votre amie que les professionnel-le-s du Centre LAVI sont là pour l'écouter et pour répondre à ses questions. En aucun cas, elle ne sera jugée ou encore mise en doute, les professionnel-le-s sont là pour la soutenir.
Aussi, en cas d'agression sexuelle, il est toujours recommandé d'effectuer un constat d'agression sexuelle le plus rapidement possible après l'agression à l'hôpital. Cela permet de mettre en évidence les preuves si plus tard elle décidait de porter plainte. Cependant, il est toujours utile de faire un bilan médical de contrôle, même plus tardivement. Même si cela est difficile, nous conseillons à votre amie de préciser les raisons pour lesquelles elle consulte. Votre soutien et accompagnement lors de ces démarches pourraient certainement être d'une grande aide pour votre amie.
Nous espérons avoir pu vous amener quelques éléments de réponses. N’hésitez pas à nous écrire à nouveau si vous avez d’autres questions, ainsi que si vous souhaitez nous tenir au courant de la situation. Prenez bien soin de vous.
25 octobre 2021 - Cœ...
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Bonjour Madame,
Vous avez des inquiétudes vis-à-vis de vos voisin-e-s, vous entendez des coups et vous avez même remarqué des marques sur le visage de votre voisine, vous êtes donc témoin de violence. Vous êtes également préoccupée par le bébé de vos voisin-e-s et vous vous demandez comment agir.
Vous dites avoir été vous-même victime de violence conjugale, nous imaginons alors que cette situation doit encore plus vous toucher. Les émotions négatives et le malaise que provoquent les situations de violence dont vous êtes témoins sont légitimes. Vous avez bien fait d’être à l’écoute de votre sensibilité et de nous avoir écrit.
Dans le cas où vous entendriez une nouvelle dispute avec des coups, ou que l’odeur de cannabis persiste et vous dérange, nous vous suggérons de faire appel à la police au 117. Pour votre sécurité et celle de vos voisin-e-s, il est préférable de faire appel à une autorité compétente comme la police. Elle est habituée à intervenir à domicile et à gérer des situations de violence conjugale.
Il existe également le centre LAVI de Genève qui offre un soutien et des aides financières pour les victimes de violence conjugale. Nous ne connaissons pas exactement la relation que vous entretenez avec votre voisine, mais si vous vous sentez suffisamment proche d’elle et que les conditions le permettent, vous pourriez lui faire part de vos inquiétudes et lui transmettre ce numéro : 022 320 01 02.
Le bébé de votre voisine semble déjà suivi par un service social. Néanmoins, si vos préoccupations concernant la sécurité de cet enfant persistent, nous vous invitons à prendre contact avec le service de protection des mineurs afin de leur transmettre votre inquiétude au numéro suivant : 022 546 10 00.
Nous espérons avoir pu vous amener quelques éléments de réponses. N’hésitez pas à nous écrire à nouveau si vous avez d’autres questions, ainsi que si vous souhaitez nous tenir au courant de la situation. Prenez bien soin de vous.
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Les situations, mêmes conflictuelles, tout comme l’alcool en fortes doses, ne sont jamais la cause de la violence, mais les déclencheurs. C’est pourquoi nous vous conseillons de veiller à comprendre ce qui se passe en vous et qui vous permettra de ne plus reproduire des actes de violence. Des aides professionnelles dans ce sens existent, nous vous conseillons fortement d’en parler avec votre psychologue pour évaluer la pertinence d’un suivi plus spécialisé tant en relation avec vos consommations d’alcool que dans le contexte des comportements violents. Sur ce dernier aspect, pour votre information, il existe à Neuchâtel le Service pour les auteur-e-s de violence conjugale (SAVC) qui œuvre dans ce sens et qui propose un accompagnement spécialisé pour trouver des alternatives et solutions en termes de comportements violents. Pour prendre contact par téléphone :032 886 80 08, ou pas e-mail: savc@cnp.ch
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