Cette section du site s’adresse à tous les jeunes.
Que tu sois en couple ou non, tu trouveras sur ce site plein d’infos sur les relations amoureuses. Flirts ou grandes histoires, l’adolescence est le moment des premiers pas amoureux. Tu découvres un nouvel univers d’émotions, de sentiments et de sensations dans lequel tu n’as pas toujours de repères.
Écouter notre quatrième podcast à ce sujet en cliquant sur ce lien: Épisode 4 – Enfance en suspens: L’impact des violences au sein du couple sur les enfants.
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Lorsque deux personnes s’aiment, elles ressentent un fort sentiment d’affection et de l’attirance l’une pour l’autre. Elles ont envie de partager des choses.
Quoi de plus beau que l’amour ? Ça met de bonne humeur, ça donne envie de chanter, ça donne des ailes! Aimer c’est aussi savoir poser ses limites et respecter celles de l’autre.
Même quand on s’aime fort et depuis un moment, il faut toujours se parler. Communique avec ton ami-e, n’attends pas qu’il/elle devine tes pensées.
Il t’est sûrement déjà arrivé d’être très en colère et de ressentir de l’agressivité. Ce sont des émotions normales. Mais attention, il faut savoir les gérer sans s’attaquer à l’autre.
Différents signes indiquent qu’une relation amoureuse dérape. Souvent, au début, cela ne semble pas très sérieux. Mais généralement, avec le temps, la situation empire. Il est important d’apprendre à reconnaître la violence. Elle peut prendre un visage, puis un autre et souvent plusieurs à la fois.
Brise la chaîne, choisis le respect!
Si tu connais quelqu’un qui est concerné-e par les dérapages du sexting, tu peux aussi agir, refuser de diffuser plus loin les images sur internet et briser la chaîne. Efface les photos obtenues sans droit et ne participe pas à leur diffusion. Dis à la personne qui t’a envoyé les photos que c’est illégal. N’oublie pas que la seule possession de telles photos est punissable.
Si tu connais la personne représentée, sois de son côté et ne la laisse pas tomber.
Dans tous les cas, si tu as besoin de conseils, tu peux poser tes questions de manière anonyme et gratuite.
Les risques et les conséquences du sexting « non maitrisé » peuvent être graves et relever du droit pénal.
Cette campagne de sensibilisation percutante est produite par l’agence de communication Main&Co et met en scène le jeune acteur suisse Noam Yaron qui a accepté de mettre sa notoriété au service de cette cause.
30 août 2021 - kob...
comment je fais pour calmer toute cette violence en moi ? en lisant certains points j’ai limite l’impression qu’on me décrit. toute cette violence que j’arrive pas a canaliser me remplit de honte.02 septembre 2021 - Azu...
Tout allait bien dans mon couple mais pendant plusieurs mois j’ai commencer à avoir une légère dépression. Moi est mon copain pouvions difficilement nous voir à cause du Covid. J’étais un peu plus paniquée. Et durant certaines discussions, je lui reprochait doucement de paraître un peu froid ou distant parfois. A chaque fois il s’énerverait criait en m’insultant, me disant d’aller me faire foutre, d’aller chier. Un jour il m’a menacer de me quitter si je ne venais pas faire ce qu’il voulait. Puis avec les mois les schémas se répétait, je n’étais pas heureuse en quand j’en parlais, du manque ou des petites choses que j’aimais qui me manques, je finissais par culpabiliser. Pendant un moment j’ai eu peur, je fesais attention à mes mots, je ne voulais pas dire quelque chose qui l’enerve ou me prendre une nouvelle remarque peu agréable en pleine face. A chaques reproches de ma part, à nouveau des insultes et de la colère, parfois il lançait des objets dans la pièce ou frappait fort sur son bureau. Il finissait par hurler « C’est toujours moi le fautif, moi le grand méchant. » je n’arrivais pas à avoir une discussion avec lui, au finale je finissais toujours par m’excuser, regrettant de m’être plainte. Il m’a fait plusieurs ultimatum, me demandant de redevenir comme avant, je ne comprenais pas, je n’arrivais pas à cerner ce que je devais faire, dire. J’essayais d’être moi-même mais avec lui je n’y arrivais plus, et je ne pouvais plus vraiment lui parler simplement, je réfléchissais à tout, tout le temps. Au finale j’ai céder à ces demandes, j’ai essayer de faire tout les efforts possible, en le suppliant à chaque menace et ultimatum. Suis-je responsable de quoi que se soit ? Les reproches était-il déplacé, ou est-ce sa réaction qui semblait déplacé ? J’aimerais comprendre pour pouvoir avancer et arrêter de continuellement me remettre en question.07 septembre 2021 - Har...
Bonjour. Voilà cette question me ronge depuis plusieurs mois. Mon copain et moi sommes séparer depuis quelques mois. Mais je m’en veux et je me sens coupable de tout. J’ai le ressenti que tout est de ma faute et que je l’ai perdu à cause de moi, et moi seule. En lisant plusieurs sites, j’ai commencer à réfléchir. Il est arriver à mon conjoint, lors de discussion, lorsque je lui reprochait quelque choses, qu’il se mette à me hurler dessus en m’insultant. Parfois en jetant des objets ou en frappant fort un meuble, j’étais en permanence en train de m’excuser. Il m’avait fait plusieurs menace, de me quitter si je ne fesait pas quelques choses et différents ultimatum. Il lui est arriver également d’avoir des propos peu respectueux, me disant que je n’en valais pas la peine ou que « Je suis désoler mais tu es conne. » Il voulait rester en contacte quand il a arrêter notre relation en me disant. « Pour le moment c’est mort et sans espoir entre nous, mais si le destin le veut, peut être dans le futur parce que j’ai encore des sentiments.. » J’ai finis par mettre de la distance entre nous, sans aucun contacte. Aujourd’hui j’ai peur d’avoir perdu une chance de reconstruire quelques choses avec lui. Et d’un autre coter je me demande si il fessait preuve de violence. Il avait déjà aussi crier sur sa mère ou sa sœur.06 février 2022 - Sam...
Est-ce que la violence verbale, avec humiliation, rabaissement etc. dans un couple, un puni par la loi?14 mars 2022 - HFC...
Je passais du temps avec un(e) ami(e) à moi et cette personne a voulu me chatouiller mais j'ai refusé alors cette personne m'a dit que je devais accepter la defaite car j'etais chatouilleux/chatouilleuse et j'ai refusé. Alors on s'est battu un peu trop violemment pour un simple jeu et avant que je n'ai eut le temps de cligner, mon ami(e) m'avait plaqué contre le lit avec mon visage contre le matelas. Je detestais ce qui m'arrivait et j'avais deja insiste que cette personne arrête mais je savais qu'elle n'allait pas arreter tant que je n'accepte la defaite. À ce moment la, cette personne à commencer à me chatouiller mais c'etait different. Cette personne à commencer à me toucher les côtes de manière douce et sensuelle et je lui ai demandé d'arrêter mais mon ami(e) m'a dit que non tant que j'accepte d'etre vaincu. Après, cette personne m'a fait des caresses sur le cou, m'a soufflé dans l'oreille et m' a retenu les bras sous ses jambes en me touchant les côtes, le cou et étant assis(e) sur moi. Finalement, j'ai accepté defait et je l'ai repousse et peu après, je suis rentré(e) chez moi. Mais je me sentais horrible, dégueulasse et j'étais rouge de honte et de rage. Je me sentais tellement tellement mal et je n'arrivais pas me concentrer ou faire quoique ce soit. Est-ce que c'était de l'abus ? Est-ce que j'exagère ? Aidez-moi s'il vous plait.Bonjour,
Tu as giflé ta partenaire lors d’un acte sexuel ce qui a causé un bouleversement dans votre relation. Tu mesures le fait d’avoir dépassé une limite qui a blessé ta partenaire, que ta relation en a été fragilisée et tu souhaites y remédier. Tu nous demandes conseils et orientation.
Nous imaginons la difficulté et la tristesse qui est la tienne en constatant les effets de ton geste sur ta partenaire. Nous soulignons positivement ta capacité à reconnaître les faits et l’inadéquation d’une utilisation de la violence. Ta recherche de solutions et conseils en nous écrivant montre ta volonté de réparer et changer de comportements. Tu restes néanmoins, il nous semble, dans une part d’incompréhension.
Il est important que tu retiennes qu’avec le geste de gifler ta compagne tu as utilisé de la violence physique dans la mesure où, dans la situation qui a été la vôtre, il n’y avait pas le consentement de ta partenaire. Contrairement à l’étranglement mutuellement et consciemment décidé, la gifle a impliqué l’utilisation de la force contre la volonté de l’autre et constitue forcément un acte blessant indépendamment du passé de ta partenaire. Il est fréquent aussi que la confiance soit amoindrie, voire remise en question, par un tel évènement. La peur que cela puisse se reproduire cumulée à la souffrance engendrée par le geste implique un temps complexe pour dépasser le vécu. Le fait que tu te sois excusé est certainement un pas important et incontournable pour avancer. Il nous est difficile de t'orienter sur "le bon moment" et la manière la plus adéquate pour « aller de l’avant » comme tu dis, tant la réponse est personnelle. Tu es également la personne la mieux placée puisque tu connais ta partenaire. Il nous semble néanmoins important que tu saches le plus précisément possible quel sont les besoins actuels de ta partenaire et/ou les vérifier.
Qu’est-ce qui t'indique que tu as bien compris ses besoins à présent et à la lumière de cet acte de violences? As-tu songé à lui poser la question directement ? Ceci t'aidera à être au plus près de la situation actuelle de ta partenaire et de t'ajuster si tu le souhaites.
Quant à tes besoins, il nous semble incontournable que tu comprennes mieux l’origine de ton geste. D’une manière générale nous observons que les manifestations de violence dans un couple tendent à se reproduire comme dans un cycle, à se répéter et malheureusement également à s'intensifier au fil du temps si elles ne sont prises au sérieux et comprises. Le fait de t'être emporté lors des élans ne serait expliquer suffisamment ton geste sans courir le risque de le reproduire. Ta partenaire t'avait explicité son désaccord et tu as néanmoins utilisé cette forme de violence. Quels sentiments t'ont traversé avant et pendant cet acte de violence ?
Il arrive que ce travail de compréhension et de changement ne soit pas aisé lorsqu’il est mené d’une manière solitaire. C’est pourquoi, si tu le souhaites, nous te conseillons de trouver une aide professionnelle pour prendre soin du sujet et ainsi protéger la personne que tu aimes. Il existe à Genève l'association VIRES, un centre spécialisé dans cette thématique et tu y trouveras une aide concrète dans la gestion des situations que tu vis. Une première évaluation lors du premier contact te permettra d’investir tes énergies pour des changements concrets que tu souhaites pour toi-même et ta relation.
Nous t'encourageons à trouver tous les bénéfices possibles d’une telle épreuve pour continuer à investir dans une relation de couple qui t'est importante et qui ne manquera pas de grandir à la suite de tes avancements et changements.
Bonjour,
Vous nous écrivez car vous vous posez des questions sur votre couple : vous avez beaucoup de conflits et votre conjoint s'énerve contre vous et vous rabaisse ainsi que votre famille et vos fréquentations. Vous êtes malheureuse et vous pensez rompre, mais vous espérez qu'il change. Vous souhaitez savoir s'il peut réellement changer et s'il existe des aides pour les auteur·es de violence psychologique.
Les actes que vous décrivez sont en effet des formes de violence psychologique. Dans votre message, vous décrivez bien comment elle peut prendre des formes diverses et comment elle vise à avoir le contrôle du ou de la partenaire. En rabaissant, insultant et critiquant, mais aussi en niant les choix de l'autre (comme lorsque votre conjoint vous dit qu'il sait mieux que vous ce qui est bien pour vous, vous empêchant alors de faire vos propres choix). L'isolement est aussi une forme de la violence psychologique, lorsque l'auteur·e critique les ami·es ou la famille de son ou sa conjoint·e, surveille ses sorties ou exige sa présence: il s'agit de vouloir posséder l'autre.
Ces mécanismes sont difficiles à percevoir car l'auteur·e de violence va culpabiliser la victime et lui donner la responsabilité, comme vous le décrivez bien "je devrais faire plus d'efforts pour qu'il arrête de s'énerver" ou "c'est moi le problème". Cependant, quoique vous fassiez, rien ne justifie la violence et vous n'en êtes pas responsable, seule la personne usant de violence est responsable de ses actes.
Lorsque vous écrivez que vous êtes malheureuse et que vous avez l'impression de vous être perdue, nous le comprenons très bien car il s'agit des conséquences de la violence psychologique qui va, entre autres, isoler et faire perdre la capacité de choisir pour soi. Elle prend la forme d'un cycle et a tendance à se répéter de plus en plus fort et fréquemment si rien n'est entrepris pour le briser.
Vous avez bien fait de nous écrire, il s'agit d'un premier pas important afin de retrouver une vie sereine. Nous allons vous donner quelques conseils afin de vous répondre.
Vous écrivez que vous pensez à rompre, mais vous avez encore l'espoir qu'il change et réalise que son comportement est néfaste pour votre relation. Nous ne pouvons bien sûr pas choisir à votre place, mais nous vous invitons à suivre votre instinct, votre "petite voix" intérieure qui vous guide et qui vous fait ressentir des signaux d'alerte, par exemple lorsque vos limites sont dépassées ou lorsque vous n'êtes pas bien dans une situation. Vous nous dites vous sentir perdue : s'écouter est une manière de se retrouver soi-même, de se reconnecter avec ses propres désirs et envies.
Pour vous répondre concernant votre conjoint, oui, il est possible qu'une personne auteure de violence change, toutefois cela prend du temps, une prise de conscience de la gravité de ses actes et une condamnation claire de la violence. Si votre conjoint décide de se responsabiliser, il peut diminuer ses comportements de violence, voire les arrêter. Cela nécessite un travail individuel avant tout et c’est pourquoi nous lui conseillons de faire appel au Centre de Prévention de l’Ale (021 321 24 00) pour suivre une thérapie (individuelle ou en groupe) de son côté s’il tient à ne plus se comporter de manière violente avec vous. Les entretiens sont confidentiels et le premier est gratuit. Il peut également nous écrire s’il préfère se dévoiler via l’anonymat dans un premier temps.
Nous vous invitons également à ne pas rester seule avec vos émotions : avez-vous quelqu'un de confiance avec qui discuter de vos questionnements (famille, collègue, ami-es,...) ?
Vous pouvez également contacter le Centre Malley Prairie à Lausanne, qui s'adresse aux femmes victimes de violence au sein du couple, en leur téléphonant au 021 620 76 76. Le Centre propose des entretiens ambulatoires dans plusieurs lieux du canton, lors de ces consultations un-e professionnel-le vous écoute et vous conseille en fonction de vos besoins. La séparation est un moment douloureux, qui comprend des risques d'augmentation des violences. Dans le cas où vous décideriez de vous séparer, nous pensons qu'il serait important de contacter des professionnel·les. Cette aide est confidentielle et gratuite.
Nous espérons avoir pu répondre à votre question, notre porte reste toujours ouverte si vous souhaitez nous réécrire ou nous donner de vos nouvelles. Nous vous adressons nos meilleures pensées.
Bonjour,
Il y a trois ans lors d'un voyage vous avez subi des attouchements et un pénétration non-souhaités et vous n'avez pas réussi à dire non. Vous vous êtes rendue compte plus tard que cet homme était beaucoup plus âgé que vous et que vous n'avez jamais été ok par rapport à ce qu'il s'est passé. Vous vous êtes sentie choquée et dégoûtée. Votre psychologue vous a dit qu'il ne s'agissait pas d'un viol et dès lors vous n'osez plus aborder le sujet avec elle. Vous avez encore des flash-backs qui vous bloquent et crispent et souhaiteriez en parler à un-e professionnel-le afin de vous réapproprier votre corps et vos sensations mais également afin d'apaiser vos pensées. Vous nous demandez où est-ce que vous pourriez demander de l'aide et si c'est légitime.
Vous avez bien fait de nous écrire : ce que vous avez vécu est bien un viol, votre consentement n'a pas été respecté. Celui-ci n'est pas toujours verbal et peut être retiré à tout moment, il est de la responsabilité de chacun-e des partenaires de s'assurer du consentement du/de la partenaire. En Suisse, un viol consiste en une pénétration d'un pénis dans un vagin avec menace, violence, pression psychologique ou contrainte (art. 190 CP), tandis que les autres formes de violence sont considérées comme des contraintes sexuelles (art. 189 CP). Ces articles sont en révision à l'heure actuelle afin de tenir entre autre compte de l'effet de sidération. Comme vous le décrivez, lors de violence sexuelle il est courant que les victimes se figent et ne réagissent pas, ou se retrouvent « en-dehors » de leur corps, comme si elles regardaient la scène de l’extérieur, ce qui va conduire à des sentiments de culpabilité chez les victimes. Cependant, il s'agit d'un effet de sidération, qui est une réaction physique tout à fait normale dans une situation qui ne l'est pas.
Nous sommes navré-es de la réaction inadéquate de votre psychologue, qui n'a pas su reconnaître les violences subies comme un viol, ni vous écouter et réagir de manière compréhensive. Il est important que vous puissiez être suivie par un-e professionnel-le formé-e dans le domaine des violences sexuelles et qui saura vous écouter et vous aider dans votre processus de reconstruction, il n'est jamais trop tard pour cela. Vous décrivez très bien dans votre messages les conséquences que peuvent avoir des violences sexuelles sur la santé psychique de la victime et vous êtes tout à fait légitime de demander de l'aide à des professionnel-les.
Vous pouvez contacter l'Association Viol Secours qui propose une aide confidentielle à toute personnes ayant été victime de violences sexuelles. Leur équipe propose une permanence psychosociale, il s'agit d'un accompagnement spécialisé afin de vous aider à vous réapproprier votre corps, vos émotions ou/et votre autonomie. La permanence est disponible par téléphone au +41 (0)22 345 20 20, par courriel permanence@viol-secours.ch ou en présentiel à Genève (Place des Charmilles 3 — 1203 Genève). Si cela peut aussi vous intéresser, l'Association propose également des groupes de parole qui permettent de s'exprimer et d'échanger avec d'autres personnes concernées dans un cadre sécure et bienveillant.
Vous pouvez également contacter un Centre LAVI proche de votre domicile. Les Centre LAVI sont des centres d'aide pour les personnes étant ou ayant été victimes d'infractions au code pénal suisse, comme c'est votre cas. Des professionnel-les spécialisé-es dans le domaine pourront vous écouter afin que vous ayez un espace pour raconter ce que vous avez vécu, vous aider à surmonter vos traumatismes et/ou vous apporter une aide supplémentaire, par exemple un soutien psychologique. Il existe plusieurs centres dans le canton de Vaud ; à Aigle, Lausanne et Yverdon-les-Bains, vous pouvez les contacter par téléphone ou par e-mail et voir avec eux pour prendre un rendez-vous en présentiel ou alors s'il est possible de le faire au début à distance.
Nous espérons avoir pu vous aider dans votre réflexion. Nous restons bien entendu à votre entière disposition si vous aviez d'autres questions ou si vous souhaitiez nous donner de vos nouvelles dans quelques temps. Nous vous adressons nos cordiales salutations.